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Ignace Mukendi Mbambi se confie à Mbokamosika

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Ignace Mukendi Mbambi se confie à Mbokamosika

Dr Nico Kasanda

 

Une question de Mwenze à Ignace Mukendi Mbambi sur le contenu de la chanson « Nakeyi Abidjan » a donné lieu à un échange à trois entre (Mwenze, Mesager, et Ignace Mukendi) durant une semaine. Vu la pertinence et le caractère historique des propos recueillis auprès de celui qui fut le manager de lAfrican-Fiesta Sukisa, et qui représente encore les intérêts de cette formation, nous avons avec son accord, jugé utile de les consigner dans les annales de notre site à travers un article intitulé : « Ignace Mukendi Mbambi se confie à Mbokamosika »

 

La chronologie de l’entretien

 

Un adage affirme qu'il faut connaître l'univers de l'artiste pour comprendre son œuvre. C'est à ce titre que  je voudrais en appeler aux souvenirs du doyen Ignace MUKENDI-MBAMBI, s'il peut nous éclairer sur l'identité exacte du sympathisant de l'African-Fiesta Sukisa à Bouaké ayant inspiré SANGANA dans "Nakeyi Abidjan" et qui transmet ses salutations à MUNGA, supposée se trouver à Léopoldville.

L'amour ékomi na suka koboya té

...(?) na Bouaké atindéli yo mboté

En effet, il est plus que fréquent dans la musique congolaise que certains noms, voire certaines phrases des chansons demeurent incompréhensibles et indéchiffrables, même à ce jour.

MWENZE

 

 

Char aîné Ignace, Je vous transmets le message que notre ami Mwenze, de Mbokamosika vous a adressé.

Par ailleurs, nous avons toujours soif de vos commentaires sur site, tout comme nous attendons les dernières oeuvres de l'African-Fiesta avec Mujos, comme promis.

Messager

 

Bonjour,

 

C'est avec grand plaisir que j'ai reçu votre lettre avec annexe  la demande de Monsieur Mwenze.

Le supporter de l'African Fiesta à Bouake  en Côte d'Ivoire qui a inspiré Sangana s'appelle DIDIER BONI.
Et la dame que Sangana a cité dans la chanson qui s'appelle MUNKA habite  à Kinshasa bien sûr et je ne peux pas donner plus de détails, je la connaissais très bien c'était sa copine.

C'est vrai  j'ai l'avantage de connaître les sources d'inspiration : notamment les personnes  pour qui telle ou telle chanson est dédiée et composée dans presque  toutes les chansons de l'African Fiesta Vita et Sukisa ainsi que quelques chansons de l'African Jazz. En fait c'est très compliqué si j'avais le temps et si j'étais autorisé, je pourrais expliquer beaucoup de choses que je connaissais et que j'ai vues  mais discrétion oblige !

Enfin vous avez pris connaissance que j'ai sorti 5 albums  ANTHOLOGY OF AFRICAN MUSIC en mémoire de Grand Kallé et Docteur Nico sur Itunes, Deezer, Amazon etc, le 18 courant suivront d'autres oeuvres parmi lesquelles les tubes de Mujos. Ces oeuvres sont des titres originaux remastérisés  OPIKA, ESENGO et FONIOR choisis dans notre  collection personnelle.

 

Sincère collaboration.

 

Ignace MUKENDI MBAMBI

 

Mon Dieu!  Alors que les gens entendent, qui Izéboni, Iléboni, Idéboni, Liéboni etc... et moi le premier, loin d'entendre Didier Boni. . Enfin...48 ans après!

Messager, combien de fois n'ai-je pas été sollicité, 48 années durant, par des gens de toute part cherchant précision de ce nom qu'ils comprenaient à peine, et de manière confuse! Il y a quatre ans, un artiste de la place ayant retenu le refrain de  "Nakéyi Abidjan"  entre autres pour un medley, fut dirigé vers moi pour la même chose. Déçu, il avait promis qu'il se débrouillerait. Je ne saurai jamais ce qu'il reproduisait à la place. En tout cas merci pour ce mystère enfin levé!

MWENZE

 

 

À propos des 5 Albums de L’anthology  of African Music.

Comme je pense l' avoir indiqué dans mon courrier précédent , les 5 premiers albums sont déjà sortis et sont disponibles sur toutes les plates formes et j'ai offert parfois 15 à 30 jours de gratuité suivant la plateforme il s'agit : Deezer, Amazone, Google play Itunes etc.

2  albums sortent le 18 courant et seront disponibles sur toutes les mêmes plates formes avec les chansons de Mujos, Pamelo Munka de Brazzaville
.
 
Bonne soirée.
 
Ignace MUKENDI
 
 

Ses rapports avec Dr Nico ,  ses études au collège Albert, et sa collaboration avec Mbokamosika.

 
Bonjour,
 
Je viens de te lire ce matin et merci de cette proposition qui rejoint ce que j'ai dit dans Mbokamosika mais illisible pour vous proposer de travailler en collaboration  . C'est une bonne idée, j'interviendrai sur ce que je connais de la musique de l'époque (à partir de 1960 à 1972) pour toutes les formations musicales sans distinction. Et pour  ANTHOLOGY OF AFRICAN MUSIQUE mon idéal est de pérenniser Grand Kallé et Docteur Nico ainsi que leurs oeuvres sinon notre culture disparaîtra et la future génération en sera privée.
 
Quand je réponds ou j'écris spontanément, je dis tout ce qui me vient dans ma tête et je ne saurais les réproduire textuellement.
 
J'ai l'avantage d'avoir été à côté de Dr Nico au retour de l'African Jazz de la Table ronde et je faisais des chroniques musicales  et de la publicité sur lui dans le journal  Présence congolaise (j'étais au Collège Albert 1er  actuellement Collège Boboto dans la promotion d'Adolphe Kasavubu).
 
Voyez-vous, beaucoup d'événements ont inspiré les musiciens congolais, à commencer par les femmes, les situations sociales, économiques, politiques, la nature etc, et quand on sait qu'on chante pour telle ou telle femme telle circonstance de la vie, je trouve que nos musiciens sont des vrais artistes créateurs.
J'en sais beaucoup, il faut avoir le temps de le dire ou de l'écrire et surtout l'autorisation de tout dire, discrétion oblige j'ai le devoir de réserve de la vie privée d'autrui.  
 
A suivre. Bonne journée.
 
Ignace MUKENDI
 
 

Bref aperçu sur les éditeurs et  distributeurs à l’époque.

 
Bonsoir,
 
Les grands musiciens à l'époque étaient leurs propres éditeurs, le Grand Kallé avait les Editions Matanga et Surboum African Jazz, l'African Fiesta (coéditeurs NICO, ROCHEREAU ROGER) avaient les Editions Vita, Franco avait Epanza makita, Editions populaires, Vicky avait les Edtions Viclong etc...Ils avaient des contrats de distribution avec la Société Belge Fonior pour la distribution à l' étranger tandis qu'en RD Congo ils étaient eux-mêmes producteurs pour vendre leurs disques.
Le distributeur Fonior avait des sous distributeurs et des contrats pour céder le répértoire des musiciens congolais comme il voulait , ce contrat était exclusif. Dans les pochettes des cd  ou disques le distributeur  à l'étranger avait toute latitude de choisir les chansons à vendre à l'étarnger avec les photos sans tenir compte de réalités de beaucoup de choses, c'est pourquoi tout ce désordre là et il y en a beaucoup.
Pamelo Munka de Brazza était fan de Rochereau, il lui donnait des chansons, exemple Lucie de l'African Fiesta Vita, et est venu chanter à Kin avec l'African Fiesta Vita, lui-même Rochereau a donné sa composition Kelya à Kallé Jeff, le chanteur Sangana de l'African Fiesta Sukisa donnait également des chansons à Rochereau dont la chanson Sangana et Mangwana a donné à Rochereau la chanson Ya Gaby. 
La photo de Roger a disparu de l'actuelle pochette c'est la pochette du cd ou disque 33 tours  et reproduit par qui ?
 
 A suivre....
 
 
Bonjour, 
 
 
Les auteurs et les compositeurs sont protégés par des lois internationales, ils sont affiliés auprès des organismes comme Socoda, Sabam, la Sacem etc. Il existe une législation qui les protège en matière des oeuvres de l'esprit dont ils sont propriétaires. 
Si vous avez lu ce que j'ai écrit hier, en ce qui concerne la RD Congo par exemple, le auteurs passent par les les éditeurs congolais ou autres producteurs à qui ils cèdent leurs oeuvres avec les clauses telles que ceux derniers peuvent à leur tour opérer des cessions ainsi de suite, il est  parfois difficile de contrôler, mais il faut savoir qu'avant de produire une oeuvre on demande de justifier sinon l'auteur peut demander de retirer le titre diffusé sur internet par exemple, il faut faire attention il y a des procès et nous SUKISA on en a intenté à Sonodisc et autres usurpateurs qui ont perdu et paient des amandes sauf si on trouve un arrangement. 
Tous les titres publiés sous ANTHOLOGY OF AFRICAN MUSIC j'en suis producteur et j'ai des justificatifs.
 
A suivre et bonne journée.
 
Ignace MUKENDI
 

 

Quid de la récurrence de titres erronés  des chansons congolaises sur les sites de ventes ? 

Je viens de vous lire. Dans ce domaine de droit d'auteurs il y a beaucoup de choses qui ne vont pas bien.
Pour ne parler que des erreurs sur les titres, maintenant que tout est informatisé l' erreur d'omission d'une lettre peut avoir des conséquences  telles que si le titre devient erroné ne correspond pas au titre déclaré à la Socoda ou Sabam ou Sacem l'auteur perd son droit et donc de l'argent , à fortiori si le même titre porte un autre nom, voyez-vous !
La plupart des producteurs sont des étrangers, occidentaux  ou africains ne connaissent pas le lingala, écrivent n'importent comment les titres et ne comprennent rien, ils font également des erreurs . A ceux-là il faut ajouter ceux qui exploitent le titre sans en avoir le droit.
Il faut savoir que beaucoup de nos musiciens cèdent leurs droits d'auteurs contre la monnaie sonnante etc.. que faire c'est un problème d'ignorance et de pauvreté.
Le titre Kamulangu de Dr Nico sur You tube on l'écrit Kamulanga par conséquent on ne verse pas à Dr Nico son droit.
Une autre erreur au lieu d'écrire Lucie Eyenga on écrit Lucie Yenga, parmi le titres de ANTHOLOGY OF AFRICAN MUSIC, on  ne peut plus corriger mais faire une déclaration rectificative lors de paiement comme on a repecté le titre.
 
A suivre....
 
Ignace MUKENDI
 
Il faut savoir que les producteurs avant l'indépendance ( 1960) étaient Ngoma ( Jeronimidis) Opika  (les frères Benatar Moussa)Loningisa ( Papadimitriu) Esengo (Antonopoulos) et après 1960 Fonior (Mr Pelgrims) suivi par Pathé Marconi.
A partir de 1960 Kallé Jeff fut le 1er éditeur congolais mais devait passer par Fonior belge qui avait l'usine Macodis à Limete pour presser les disques 45 tours. Les orchestres African Jazz et Ok Jazz enregistraient sur Surboum African, avec Kallé leur Editeur
En 1962/63 création des éditions Vita (Roger, Nico Rochereau (co-éditeurs) passaient toujours par Fonior belge pour distribution de leurs disques dans le monde. Puis Ok jazz a fait son édition Epanza makita (vers 1964) etc...
 Il y avait une usine de pressage des disques au Nigeria à Lagos et à Naïrobi, qui pressaient les disques congolais en accord avec Fonior.
La période avant l'indépendance tout était bien organisé jusqu'en 1970 et après...
 
A suivre
 
IM
 
Cher aîné  Ignace,
Je vous réitère mes remerciements pour avoir accepté de vous confier sur notre patrimoine. Comme je l’ai souligné hier, votre récit est précieux pour la nouvelle génération. A cet égard, je me propose d’en publier prochainement les grands extraits sous forme d’interview, en commençant par la question de Mwenze sur Didier Boni.
Sur ce que vous avez écrit jusque-là, j’ai remarqué votre respect de la vie privée. C’est sûrement le reflet de votre éducation. Me permettez-vous de mentionner le passage où vous dites que vous avez étudié avec la fille de Joseph kasa-vubu ?
Par ailleurs, pour poursuivre notre échange, j’aimerais vous poser quelques questions sur vos rapports avec les artistes.
1.      Comment et quand avez-vous fait connaissance avec DR Nico et Kallé ?
2.      Aviez-vous des relations aussi poussées avec d’autres artistes musiciens ?
3.      Quelles sont selon vous les grandes étapes de votre collaboration avec Dr Nico ?
4.      Quels sont les meilleurs et les mauvais moments de votre implication dans le management musical ?
5.      Pourriez-vous nous offrir quelques documents, particulièrement des photos souvenirs marquant ces moments ?
6.      Comment pouvez-vous décrire la musique congolaise actuelle en rapport avec la musique de l’époque de Nico, Kallé, Rochereau, Franco ?
7.      Quels étaient les rapports privés entre Nico et Franco, sachant qu’ils habitaient le même quartier ?
 
Avec ces questions, je crois pouvoir terminer la première étape de notre entretien.
 
Merci et à bientôt
 
Messager
 
 
 
Bonjour,
 
J'ai reçu votre é-mail et ce week-end  je me libererai un peu,  j'y  répondrai. C'est avec Adolphe Kasavubu (fils ainé de l'ancien et 1er Président de la République  Joseph Kasavubu) que j'étais en 1960 au Collège Albert  1er actuellement Collège Boboto.
Vous faites comme vous voulez avec les informations que je vous communique et qui m'engagent personnellement. 
Bon week-end.
 
Ignace MUKENDI
 
 
 

Bonjour,

 

 

 

 

Veuillez trouver ci-dessous les réponses que j'ai données à vos questions :

 

 

 

 

 

 

 

 

1°  Nicolas KASANDA  dit Dr Nico est né à Luluabourg Saint Joseph Mikalayi, faubourg de l'actuelle ville de Kananga dans l' ancien Kasai. Il est mon aîné de 3 ans, je suis natif de Mikalayi, on était des voisins, ma famille et la sienne se connaissaient très bien et ont fraternisé, c'est facile à comprendre nos relations.

Le Grand Kallé je le connaissais comme tout le monde connaît  ce premier et un grand  chanteur compositeur qui a créée un premier orchestre moderne l'African Jazz en 1953 et le premier congolais à créer la première  édition musicale Surboum African Jazz, lors de la tournée en 1960 à  Bruxelles a triomphé avec des chansons  Indépendance cha cha (Kallé) et Table ronde (Nico). Surtout lors de la réconciliation avec Dr Nico pour la refondation du Grand African Jazz en 1961 tout s'est passé devant moi.

 

 

 

 

2° Je n'ai pas eu des relations aussi poussées avec d'autre musiciens sauf avec Dechaud le grand frère de Dr Nico mais le reste des musiciens juste des relations d'appartenir au même groupe où évoluait Dr Nico  l'African Jazz et African Fiesta.

 

 

 

 

3° En 1961 j'ai commencé à écrire et commenter sur Dr Nico dans l'hebdomadaire Présence Congolaise où il y avait une rubrique musicale, je réalisais des prospectus avec des différentes photos sur lui qu'on distribuait pendant les concerts et j'ai accentué ma collaboration avec Dr Nico dans l'African Fiesta Vita. Et lors de la dislocation de l'African Fiesta Vita j'ai pris une part active à collaborer avec Dr Nico plus dans l'édition Sukisa où je m'étais très investi que dans l'orchestre.

 

 

 

 

 4° D'abord les moments difficiles mais pas des mauvais moments c'est quand il fallait remplacer Rochereau à la chanson après leur séparation, on ne s'y attendait pas, parce que Dr Nico et Rochereau s'étaient entendus pour écarter Roger, qui ne venait plus aux concerts et ne justifiait pas le compte des ventes des disques VITA . Ils avaient déjà fait des enregistrements et créée une autré Edition musicale SUKISA que Dr Nico a continué seul mais comme on a vendu la mèche  Roger a usé de ses relations très haut placé pour s'attirer les services de Rochereau .

Nos efforts de management ont payé avec le recrutement de Chantal, Sangana et plus tard Lassan et Kiambukuta non seulement on a sorti la tête de l'eau mais l'African Fiesta Sukisa figurait en tête des orchestres , tout le répertoire était des tubes que je ne peux citer tous ici : Bougie ya motema (mipenda ya milangi) zadio, nasali eloko te, nakei Abidjan, limbisa nga canchita,tu m'as déçu chou chou, zongo, saidi naboyi masumu, kamunganziko. Sans oublier l'introduction de la guitare likembe et hawaiênne que Dr Nico maniait avec maîtrise incomparable.

 

 

 

 

5° Les photos et autres souvenirs pour plus tard.

 

 

 

 

6° Chaque musique a son époque et s'adapte aux circonstances du lieu et du temps ,au public et à son évolution environnementale

L'époque de Kallé, Dr Nico, Franco  et Rochereau a jeté la base de la musique congolaise moderne et les jeunes de temps en temps ils reviennent à ces sources, n'a-t-on pas vu et apprécié les chansons de Carlyto, Fally dans liputa, le succès de Cindy est de 80% quand elle chante la rumba dans Bord ezanga kombo. Il n y a pas de mauvaise musique sauf si elle ne plaît pas ou sonne mal à l'oreille.



7° Dr Nico et Franco avaient des rapports que les gens ne connaissaient pas et ne connaissent pas

 

.D'abord, je cite le respect mutuel et la considération l'un envers l'autre. Vous dites qu'ils habitaient le même quartier non ils habitaient la même avenue de la Poste de Limete 5 parcelles les séparaient.Ils entretenaient de bonnes relations exemple Dr Nico était parti à Bruxelles quand  son épouse voulait retirer le deuil de la sa grande mère au ZEKA bar sur Wangata dans la Commune de Kinshasa, informé c'est Franco et l'Ok Jazz qui ont joué le concert gratuitement. Savez-vous que  Dr Nico est parrain du mariage de Simaro avec mama Kelani ? Pendant ses heures de repos à midi un employé  du bureau chez Franco qu'on appelalit 08 était tès souvent  chez le voisin Dr Nico dont il était fanatique et supporter, voyez-vous.

 

 

 

 

 

 

 

Dr Nico, parrain du mariage Lutumba Simaro et Kelani

 

A suivre. Excusez-moi pour les fautes d'orthographe, de compréhension je n'aime pas faire le brouillon je préfère la spontanéité et le direct pour la prochaine fois.



Ignace MUKENDI

 

 

Concernant les 2 derniers Albums (6e et 7e) de l’Anthology African Music

Ce sont les chansons de Mujos dans l'African Jazz, avec Kallé Dr Nico et Rochereau ainsi que les chansons de Mujos dans l'African Fiesta Vita avec Dr Nico et Rochereau  tandis que Mujos avec Dr Nico dans l'African Fiesta Sukisa n'ont pas  été enregistrées  sur l'Edition Sukisa mais elles devaient être enregistrées dans la nouvelle édition de Mujos CREDO ( j'ai 2 titres à t'envoyer plus tard.

Pour les extraits de Anthology of african music à diffuserdans votre journal en ligne c'est bien pour la pub  je suis très d'accord je t' en enverrai.

 

 

Bonne soirée.

 

 

Ignace Mukendi

 

 
 
 
 
Un adage affirme qu'il faut connaître l'univers de l'artiste pour comprendre son œuvre. C'est à ce titre que  je voudrais en appeler aux souvenirs du doyen Ignace MUKENDI-MBAMBI, s'il peut nous éclairer sur l'identité exacte du sympathisant de l'African-Fiesta Sukisa à Bouaké ayant inspiré SANGANA dans "Nakeyi Abidjan" et qui transmet ses salutations à MUNGA, supposée se trouver à Léopoldville.
L'amour ékomi na suka koboya té
...(?) na Bouaké atindéli yo mboté
En effet, il est plus que fréquent dans la musique congolaise que certains noms, voire certaines phrases des chansons demeurent incompréhensibles et indéchiffrables, même à ce jour.
MWENZE

 


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